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Ouverture des Précommandes

J’ai tant de nouvelles à vous partager que je me demande par où débuter ! Je ne vous explique pas non plus dans quel état je suis actuellement ! J’ai le cœur qui bat à mille à l’heure.

Vous l’attendez tous patiemment, le voici, le voilà ! Ombrechêne est enfin en cours d’édition. Je suis plus que ravie de vous annoncer l’ouverture des précommandes que vous pouvez retrouver à l’adresse suivante :  ici

 Vous pouvez le commander dès maintenant et si vous le  souhaitez, je vous invite à ajouter une note pour une dédicace lors de la validation du paiement. Les envois débuteront dès la réception des livres, suivant l’ordre chronologique des commandes, avant la sortie officielle.

Attention, vous avez jusqu’au 15 novembre pour le précommander. Au delà de cette date, il faudra attendre fin novembre, c’est à dire la sortie officielle du livre. Je vous annoncerais la date prochainement.

Ensuite, j’ai divers détails à vous révéler sur le livre : j’anticipe la réception de 200 exemplaires pour la fin du mois. Pour l’instant, seule l’édition brochée sera en vente. Les approvisionnements seront effectués suivant le rythme de la demande. 

Pour le moment, cet opus de 646 pages se vend uniquement via mon site. En 2026, une édition reliée sera publiée en seulement 150 exemplaires, avec la même couverture et un joli jaspage. Je verrais en fonction des ventes si j’augmente le volume par la suite. Je vois aussi pour vous le proposer en Ebook sur Kobo. 

J’ai opté pour un imprimeur normand en raison de ses plus de 60 années de savoir faire. Je suis parmi les rares autrices à opter pour cette approche,  ce choix est un facteur distinctif.  J’ai toujours été à contre courant, préférant avancer en accord avec mes convictions et mes valeurs profondes.  A notre époque, presque tous les auteurs indépendants choisissent Amazon pour l’autoédition, je fais exception à la règle. Plusieurs raisons m’ont amené à ce sujet :  

  1. Je soutiens les entreprises et artisans français.
  2. Je stimule l’économie local.
  3. Publier avec Amazon menace l’existence des librairies traditionnelles et le métier d’éditeur . Quoi de mieux que de flâner dans les librairies, sentir le papier sous ses doigts, à la recherche de sa future aventure livresque.
  4. Je m’efforce d’adopter un mode de vie respectueux envers la planète. Les imprimés de chez CORLET bénéficient de matières premières éco-responsables. 
  5. Puis pour être honnête,  un imprimeur professionnel présente des avantages par rapport à un imprimeur en ligne aux marges conséquentes.  Je m’abstiendrai de nommer qui que ce soit, mais mon analyse des prix chez différents fournisseurs montre une différence proche de 500 euros, sans ajouter les frais d’expédition. Je précise aussi que certains n’ont même pas la décence de répondre à un simple devis et se prétend être numéro un sur la plateforme.

Donc, j’ai choisi de m’auto-publié en établissant ma propre structure éditoriale. Ombrechêne inaugure ma carrière d’écrivain, avec bien d’autres titres en gestation.  Tout d’abord clore la trilogie actuelle. J’enchaînerai avec les Mydrihades, où je retravaillerais certaines séquences.  Même si l’histoire plonge dans le fantastique et la terreur, je souhaite préserver une part de réalisme. Par la suite, un projet en tandem se profile, mais chut, c’est encore un secret me souffle t-on à l’oreillette. Mon imagination déborde de projets et l’envie de visiter divers genres me stimule. L’écriture est mon refuge, mon sanctuaire, mon moteur vital.  

Donc pour tous ceux qui aiment la fantasy et qui veulent me soutenir, je vous donne rendez-vous à Ombrechêne.  

Je vous dis à bientôt pour le prochain épisode… 

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Le bois écarlate

Le bois écarlate, écrit par Maude Elyther

aux éditions Kiwi

« La brume vaporeuse porte le parfum suranné d’anciens contes. A la surface de l’eau, l’astre lunaire et ses joyaux reflètent leur froide beauté cosmique. La terre déploie la richesse de sa carnation noire, dans laquelle une pléiade d’arbres centenaires et leurs descendants prennent profondément racines. Les plantes sauvages et autres herbes de sorcières prolifèrent en soupirs alanguis. Bienfaits et poisons se côtoient tels des siamois. Dans ce décor de minuit, une Fumerolle Noire se matérialise. Drapée d’interminables voiles nébuleux, une silhouette évolue parmi la flore. »

Résumé

Un bois inquiétant, des disparitions d’enfants, un romancier en manque d’inspiration perdu, isolé dans une forêt qui n’a rien de naturel…La ville de Treffendel est entourée par un bois qui se teint entièrement de rouge lors de l’automne. Nombre de mystères et de légendes urbaines gravitent autour de lui, mais ses secrets restent cependant bien gardés. Charlie Holzl, un auteur baroudeur qui s’inspire d’histoires sordides pour écrire ses romans, revient à Treffendel où, quelques mois plus tôt, s’est passé un événement macabre : la mort violente de deux enfants.Sous prétexte d’écrire un nouveau livre, Charlie se lance dans une enquête qui le conduira au cœur des mystères du bois, sur les traces d’un animal merveilleux doté de parole.

Avis


Le bois écarlate est un livre sombre et onirique mâtinée d’une part horrifique où la nature est représentée comme une chimère, une fascination, une personne à part entière. Le bois revêt son manteau écarlate et nous envoûte. Le rouge est prédominant et prend plusieurs symboliques à mon sens : le sang, la passion, l’amour, la folie, le crime. La sylve rouge est un réceptacle de fragments de vies incroyables où des monstres chimériques s’esquissent en filigrane et nous perd entre rêve et réalité. J’ai aimé le côté enchantée comme la partie brumeuse et plus inquiétante d’illusions prégnantes. Entre songe fantasmagorique et réalité, l’auteure nous dépeint une atmosphère vaporeuse tout en subtilité. J’ai parcouru ce livre comme une peinture contemplative. C’était beau, mélancolique, touchant par les différentes thématiques abordées. Par contre cette fin me laisse interrogative et laisse beaucoup de questions sans réponses.

Petit aparté : Je dois avouer que la référence à Jared Leto m’a fait plaisir.

Les contes d’ Elfëllía